C'est de la sanguine, celle qui habille le nu. Moi, justement, j'ai tenté toute la soirée de déshabiller le nu, pour y trouver cet instantané de vérité. Quand j'ai eu confirmation, je me suis empressé de recouvrir cette vérité que j'ignore d'ailleurs, d'une peau de peinture qui avait été préalablement élevée à l'atelier, avec patience, délicatesse et sensualité.