C'était la fin de l'été et les cartes postales reçues durant juillet et août, avaient formé une montagne comme un continent, sorti de son pli. Plutôt, que de les mettre à la poubelle, je les ai déposé comme une collection toujours incomplète dans le moule à madeleine. Leurs strates, comme un levier à histoires, étaient devenues un présent absent mais partagé.